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J'te jure, je suis bien plus chelou que j'en ai l'air [ft Eden]
Anonymous
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Lun 16 Mai - 10:37
Bonjourchère voisine
D’un point de vue extérieur, c’est vrai que ça peut vraiment être bizarre. Mais ce n’est pas comme si tu en avais quelque chose à foutre. Te voilà donc à observer un de tes voisins s’affairer. Tu aimes bien connaitre la routine des autres, ça te permet de savoir quel est le meilleur moment pour attaquer. Tu te fais un peu chier ici. Tout est toujours si calme, si paisible. Les gens se sourient, ils s’apprécient, ils rigolent ensemble. Comme si la haine n’existait pas, comme si la colère n’était qu’une légende, un conte qu’on raconte aux enfants pour leur faire peur. Tu es là pour leur rappeler. Leur rappeler que même la mort n’est pas toute rose, que même ce monde est peuplé d’être bizarre. Que l’obscurité ne les quitte jamais, qu’elle est une fidèle compagne qu’il sous-estime bien trop. A faire comme si elle n’existait pas, ils ne s’y habituent pas. Par définition, elle sera bien plus terrifiante lorsqu’elle viendra toquer à leur porte. Toi, ça ne te dérange pas. Ça t’arrange même, c’est juste pour eux que tu dis ça. Puis, tu trouves vraiment ça ridicule, cette capacité incroyable qu’ils ont à mettre des ouillères. Ils sont fascinants par leur bêtise.

M’enfin bref, vraiment, tu t’en fous. Toi, tu te contentes de les observer. T’as pas vraiment le droit, t’en es pratiquement sûr. Et ton passeur va t’engueuler fort s’il passe dans le coin. Mais t’as l’habitude de toute façon. Va falloir qu’il se fasse à l’idée qu’il ne te sauvera pas, mais tu comprends que ce soit difficile à accepter. Il n’imagine vraiment pas à quel point tu es une cause perdue. La preuve, tu mattes tes voisins dans leur intimité alors que tu devrais être en train de rédiger un article. A chacun ses priorités !



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Anonymous
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Mar 17 Mai - 16:28
J'te jure, je suis bien plus chelou que j'en ai l'air.

A chaque matinée, sa routine quotidienne ! C’est fou comme quoi, sur le papier toutes les journées sont pareilles, mais que l’Entre-Passe regorge tout de même d’une multitude d'événements inattendus et d’individus haut en couleur qui occupaient bien tes tournées - aussi surprenants que pénibles, des fois tu t’en passerais bien aussi. Outre avoir manqué de faucher quelqu’un avec ton picotis et perdre le pan de ton pantalon à cause d’un chien qui gardait bien sa maison, c’était une journée plutôt ordinaire.

Jusqu’au moment où tu apperçus un gamin au sacré toupet. Non pas qu’il porte une perruque - ça, tu ne pouvais pas le savoir - mais il semble apprécier reluquer les gens au travers d’une fenêtre. Un voyeur ? Tu arrêtes Roquette, ton picotis et lui demande de t’attendre sagement. Adviendra que pourra, au moins les colis restent bien attachés à sa monture si, ô grand jamais, il venait à n’en faire qu’à sa tête et à partir vadrouiller. Tu gardais son précieux déjeuner dans ta sacoche, gage qu’il reviendra forcément à toi.

A pas de loup, malgré ton grand chapeau blanc et voyant, tu t’approches du noiraud indiscret. Sa tête est tellement collée à cette pauvre fenêtre, qu’avec un peu de chance, il ne verrait pas ton reflet.

Tu t’agenouilles à côté de lui et pose lourdement une main sur son épaule avant de lui souffler :

- Dit donc, mon jeunot. Qu’est-ce qui t’intrigue autant dans cette maison pour que tu ailles risquer les foudres de ton passeur ?
Emme


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Jeu 26 Mai - 18:27
Bonjourchère voisine
Il va finir par faire quelque chose d’intéressant, tu y crois. Bon, au pire, tu as repéré tout ce que tu peux éteindre sans que ça te demande trop d’énergie. T’as la flemme de devenir aveugle pour un mec qui n’est probablement pas intéressant. Heureusement que les cauchemars existent, les gens pensent toujours au pire grâce à eux… Malheureusement pour toi, ce n’est que toi à chaque fois, tu n’es pas bien méchant. Clairement mal attentionné, mais tu fais moins mal que ces vilains mauvais rêves. Ça te dégoute d’y penser, tu aimerais tellement pouvoir être craint tout comme eux, mais pour ça, il faut que tu optimises ton don, et que tu fasses en sorte que ses évolutions ne tournent pas vers le beau.

Tu ne le regardes même plus réellement, tu es simplement aspiré par tes pensées, c’est de plus en plus fréquent en ce moment. Tellement concentré que tu n’entends même pas la femme approchée. Elle te parle. Non, même pas surpris en soit. Tu n’en montres aucun signe, pas un sursaut, même pas un frémissement de paupière. Un soupir franchit le palier de tes lèvres, ton regard glisse lentement jusqu’à elle. Tu esquisses un petit sourire, pour une fois tiens, on dirait presque tu es chaleureux ! Et elle pourrait le croire si tu n’étais pas en train de mater un pauvre type qui fait juste sa vie, enfin sa mort, dans sa baraque ! « Dit donc, ma jeunette. Pourquoi venir se frotter aux gens qui ont l’air aussi chelou que moi ? T'es en mal de sensations fortes ? T’en fais donc pas pour mon passeur, il n’en saura rien, puis même si c’est le cas, ce n'est pas comme si j’en ai grand-chose à foutre, il a l’habitude, t’en fais donc pas pour lui ! »

Il va encore chialer, et le pauvre homme n’est clairement pas au bout de ses peines : « Tu t’ennuies ? Tu veux l’mater avec moi ? J’peux te donner des tips pour ne pas se faire remarquer s’tu veux~»  


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Anonymous
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Dim 5 Juin - 16:59
J'te jure, je suis bien plus chelou que j'en ai l'air.
Eh beh ! Quel manque de réactivité, ce jeune ! Certes, tu ne l’imaginais pas faire un bond de quinze mètre après ta petite tape sur l’épaule, mais… Au moins un petit hoquet de surprise ou un léger sursaut. Fais un effort gamin, t’es pas drôle ! Il avait autant de vitalité qu’une branche morte. Et i te semblait tellement blasé et nonchalant dans sa réponse que tu ressentais l’urgente envie de le secouer comme un prunier pour le réveiller.

Cependant, il te posa une question avant, donc tu t’abstins de le secouer de tes vifs bras. Ce serait dommage de ne pas comprendre ce qu’il te dit, un peu comme une radio ou une télévision dont on aurait mal orienté l’antenne.

Finalement, tu haussas un sourcil si haut et les comissures de tes lèvres tiraient tant vers le bas, que ta moue perplexe semblait sortir d’un cartoon ou de la panoplie du Jim Carrey. Ah, ça, pour être expressive avec ton faciès, tu l’étais sans nul doute.

- Alors… C’est très bien d’avoir conscience de ta cheloulitude actuelle, mais à mes yeux tu ressembles trop à un buisson qui prend racine qu’à un espion confirmé. Ce n’est pas seulement en regardant par la fenêtre que tu vas apprendre beaucoup de choses.

Tu rigolas.

- Toi ? M’apprendre des tips en commérage ? Tu n’es qu’un disciple, tout au mieux. Je fouille dans la vie des gens comme j’entre dans un moulin.

Tu gonflais le torse, fière comme un coq. Ou une poule ? Non un dindon ou un paon. Bref, tu ne t’arrêtais plus de parler, quelle pipelette.

- Figures-toi que la dernière fois que je lui ai livré un truc, à ce monsieur, il venait de se faire larguer par la belle dame qui habite dans le pâté de maison, là bas. C’était pas joyeux, mamamia. Pas beau du tout ! Et tu sais pourquoi ? Parce qu’il avait pas repasser sa chemise ! Les gens sont bizarres… Mais du coup, ça m’étonnerait qu’on le voit s’approcher d’une fenêtre ou prendre le soleil, le pauvre. Il doit être méga déprimé. Donc si tu veux quelque chose, il faut prendre les devants gamin et ne pas rester planter là comme un piquet ! On n’est pas dans un film de James Bond !

Un sourire narquois sur le visage, toute contente de tes ragots, tu levas finalement la tête vers la fenêtre et vit un visage marqué par la fatigue et aux traits tirés d’exaspération, te juger de sa hauteur. Oui, tu ne l’avais pas vu venir.

Ah bah, t’es fort en commérage, pas en discrétion !

- Ah ? Ah ! Ohohohohohohoh ! Bonjour monsieur Cruchot ! Comment allez-vous ! Enfin, si vous pouvez m’entendre avec votre double vitrage, là…

Oh que tu avais moins fière allure, tout d’un coup.
Emme


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Dim 12 Juin - 16:59
Bonjourchère voisine
Tu fronces les sourcils. Ew, ça y est, elle t’agace déjà, elle jacasse trop. Tu t’en fous de sa vie à ce boug, et tu t’en fous encore plus de ses conseils à deux balles. Le silence en apprend parfois bien plus que tout le reste. Même si, à ce moment précis, elle a tout simplement tort. Parfois, tu observes bel et bien le vide, mais là, ce n’est pas le cas, il y a du mouvement. Tu attends simplement qu’elle se prenne un coup de karma. “Ferme la, tu parles trop, tu te fatigues pour rien, j’ai arrêté de  t’écouter à “cheloulitude””.

Elle se lève. Elle fout quoi là ? Bordel, elle est intenable, elle va tout faire foirer. Tu te plaques un peu plus contre le sol. Qu’elle tombe toute seule, tu n’as absolument pas peur des conséquences, tu préfères simplement regarder le spectacle. Tu attends que ce monsieur daigne remontrer sa frimousse calmement.

Et l’attente n’est pas longue, si tu avais des moustaches, elles auraient probablement frétiller d’excitation. Elle perd en fierté la p’tite dame, ton regard glisse doucement jusqu’à elle, tu te couches sur le côté et la regarde avec toute la malice du monde dans les yeux. Ce fameux monsieur Cruchot se retire. Il ne t’a manifestement pas remarqué. Tu l’imites d’un air moqueur : “Han, bonjouuur monsieur Cruchot ! Je suis une idiote qui crâne et se faire rattraper par le karma, comment vous allez monsieur Cruuuuuchot ? C’est toi la cruche ouais ! Au passage, t'as ton piaf qui s'est tiré.”



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Jeu 23 Juin - 14:11
J'te jure, je suis bien plus chelou que j'en ai l'air.

Tu fais la choquée, l’adulte outrée, la factrice exaspérée lorsque tu entends le changement de ton du jeunot. Il pouvait pas être agressif dès le début, au lieu de jouer les entourloupes ?

- Scusame ? Bambino, scheeeeeeeerzi ??? Aaaaaah ???

Tu en perdais ton italien de bonne manière, regardant tour à tour le gamin, Monsieur Cruchot et Roquette qui commençait à taper un sprint. Le dernier cas étant le plus gérable, il ne te marqua même pas l’esprit.

- Mais t’es une vraie balance, wesh ! Ca se fait pas ! Puis, on en parle de ton voyeurisme glauque, là, collé contre la fenêtre ?

Tu te retournes vers Monsieur Cruchot, un air désolé.

- D’ailleurs, M’sieur, je pense qu’il va vous falloir enlever les traces de baves et les bactéries de votre fenêtre au karcher, vidiu. C’est alarmant. Que dis-je désastreux ! Inconcevable ! D’ailleurs pourquoi tu te planques ? Viens là !

Tu chopais le noiraud par le col de son haut avant de le tirer juste devant la fenêtre pour le mettre bien en évidence devant cette pauvre âme au regard vitreux. Tu avais plus de force que tu avais l’air.

- Non mais regardez-le ?

On te claqua la fenêtre au visage. Bon tant pis. Quand tu penses que t’avais voulu être sympa. Tu le lâches sans tarder en boudant. Mais qui boudais-tu ? Lui ? Monsieur Cruchot ? Ta monture qui s’était fait la malle ? Ou ta vilaine curiosité.
Emme


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